Elle ouvre les yeux, se réveille langoureusement
Son regard se tourne vers l’homme, amoureusement
Sur le ventre, il dort sa respiration est lente
Ses épaules nues, offertes, musclées, troublantes
Elle soulève le drap et découvre sa chute de rein
Sa peau à une apparence satinée, attirant sa main
Elle ne résiste pas, et le drap choit sur le sol
Deux fesses ouateuses se découvrent, ça l’affole
Sa main ne peut résister à ces formes attirantes
Ces formes offertes à son regard et si tentantes
Et tel un papillon, sa main se pose délicatement
Elle se pose sur ces globes de chairs lentement
Elle le sent frémir, elle adore cette sensation
Cette zone si sensible chez lui, est une passion
Et elle ne s’en lasse jamais de le faire frémir
En le caressant de lui donner un tel de plaisir
Des épaules à cette zone, si érogène,le caressent
Aphrodite sait qu’il ne dort plus, mais paresse
Et elle imagine sa colonne de chairs se dressant
Il gémis, s’offre à sa main, soumis et obéissant
Elle devine la colonne dressée, ressent l’envie
Son antre brûlant et humide déjà appelle sa vie
Son ventre à elle est en effusion et le réclame
Elle le retourne et est envahie par une flamme
Et, elle enfourche cette colonne de chair dressée
À son tour elle gémit, sentant le plaisir s’élever
Les va et viens, elle les dirige à un rythme lent
Ses mains caressent ses seins affolant ses sens
Le plaisir est dans son ventre brûlant, excitant
ils montent en même temps que le sien,elle le sent
Alors, elle explose et sent qu’il à fait de même
Repue, à ses côtés, s’étend, sûr qu’ils s’aiment.
(c) 2017 Didier SEHA
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