Quentin, lorsque tu as montré le bout de ton nez,
Toi petit bébé, si beau et fragile, je t’ai chouchouté.
J’avais alors de nouvelles responsabilités,
Auxquelles je faisais déjà face pour ton frère aîné.
Quentin, du fond de mon cœur, sans mentir,
J’ai puisé la force pour t’aider à grandir,
En moi tu as trouvé la force de t’épanouir,
J’ai trouvé bien du réconfort dans tes sourires.
Quentin, les années passent à une vitesse sans pareil,
Dans le brouillard, tu restes mon rayons de soleil.
Et si parfois je te chauffe un peu les oreilles,
C’est pour que ta vie reste une petite merveille.
Quentin, aujourd’hui tu as treize ans
Bien que pour nous tu sois toujours un enfant
Dans ta vie, aujourd’hui c’est-à-dire à présent
L’avenir s’ouvre à toi, jeune adolescent.
Quentin, aujourd’hui est pour toi un grand jour,
Pour moi, maman et ton frère tu es notre amour,
Chacun, nous voulons te voir sous ton plus beau jour.
Moi j’essaye de t’apprendre ce qu’est vraiment le jour.
Quentin, pour tes études tu nous fais un peu souffrir
Pourtant c’est maintenant que tu dois préparer ton avenir
Et toi qui sais à peine ce que travailler veut dire,
Un jour à tes enfants tu devras aussi le leur dire.
Quentin, toi qui sors d’une enfance si douce
Pendant laquelle il a fallu que je te pousse,
Dis toi qu’il va falloir un jour filer en douce
Et tu seras alors seul à te battre dans la course.
Quentin après ces quelques vers je termine ce poème
Moi qui n’ai rien à voir avec Victor Hugo ou Verlaine
C’est de tout mon cœur et du plus profond de moi-même
Que je te dis bon anniversaire,mon Trésor, je t’aime
Papounet 24/01/2008
(c) 2007 Didier SEHA
(http://poemier.seha.be)